Le DJ et les quatre boules de cristal
M'est avis que plus ça paraît simple, plus ça doit être difficile d'emploi. Tripatouiller ces sphéroïdes connectées pour monter un set est digne de l'intelligent techno d'Aphex Twin, Autechre et autre Plaid. On est toujours ici au bord d'un abysse sonique tendance bruitiste que d'une construction élaborée et lisse à la klaus Schulze. En fait, c'est plutôt plein la vue genre Jean-Miche Jarre. On est intrigués comme un chat devant des objets lumineux qui bougent, aux aguets, mais les oreilles légèrement écorchées. Peut mieux faire donc...