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A Monster calls (Ciné)

Publié le 09 janvier 2017 par Bigreblog

Bonjour les Bigronautes!

Première review ciné de l’année, et quel film nous avons choisi mes parents et moi! Une vraie pépite qu’il sera très difficile de battre par la suite. Une adaptation d’une poésie et d’une vérité confondantes, avec un casting discret mais parfait.

A Monster calls a été doublé Quelques minutes après minuit en français, et pour une fois, j’apprécie cette traduction.

Pas de spoilers as usual!

Conor O’Malley est un enfant de douze ans qui n’est plus tout à fait un enfant. Entre la maladie de sa mère Lizzie et les harcèlements incessants à l’école, il se renferme sur lui-même jusqu’à s’inventer un monde imaginaire. Tous les soirs, quelques minutes après minuit, un monstre apparait à sa fenêtre, et contre tout attente, il l’aidera à guérir…

A Monster calls (Ciné)

Je n’avais pas entendu parler de ce film avant de voir la bande-annonce au cinéma lorsque je suis retournée voir Fantastic Beasts en VO. Une bande-annonce qui, vous verrez en fin d’article, est d’une beauté rare, tant par le propos que par le visuel donné au film.

Un film entre conte initiatique et drame, dont le visuel est la star incontestée aux côtés de ce petit bout d’homme dont on va reparler très vite.

Je vous le disais en début d’article, il sera très difficile par un autre film de battre A Monster calls, tout simplement parce que mes parents et moi sommes sortis du cinéma en silence, et n’avons pas parlé de notre visionnage pendant de longues heures. Ça ne nous est jamais arrivé avant, et ça devrait être la seule preuve de la qualité de ce récit.❤

Mais l’une des qualités indéniables de ce film, et la raison pour laquelle le scénario passe si bien, c’est le casting.

Un enfant inconnu est très – TRÈS – rarement cité en premier au casting, mais ici, Lewis MacDougall l’est tout naturellement. Il crève littéralement l’écran, plein de justesse, de maturité et de douceur, un garçon qui ira très loin dans sa carrière d’artiste tant il nous a scotché la face.

A Monster calls (Ciné)

Felicity Jones, qui incarne sa mère malade, Lizzie, est tout simplement magnifique, et pourtant peu présente, tout comme ses compagnons de route.

😉

Sigourney Weaver interprète, elle, la Grand-Mère acariâtre de Conor, et son accent anglais est parfait et son rôle tout autant. Wow.

Toby Kebbell, le dernier des rôles secondaires, incarne le père peu présent de Conor, une figure tantôt vue comme un sauveur et tantôt comme un lâcheur qu’il a su incarner avec pudeur, et puis j’adore voir ses vrais traits parce qu’il est quand même agréable à regarder.

😉

Mais impossible de parler de ce film sans parler du Monstre, doublé avec classe comme toujours par mon Dieu, Liam Neeson, dont la complicité avec le jeune Lewis hors plateaux est juste touchante au possible. Merci Dieu.❤

A Monster calls (Ciné)

En conclusion, A Monster calls est juste une fable magnifique, dramatique aussi, mais tellement belle sous toutes les coutures que vous ne pourrez y rester insensible… Évitez quand même s’y aller avec de jeunes enfants, l’un des « héros » du film est quand même le cancer et ça c’est moins drôle…

Note: 9,75/10 (scénario: 10/10 jeu: 10/10 (Lewis, un enfant merveilleux)BO: 9/10drame initiatique: 10/10)

A Monster calls (Ciné)



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