Aujourd’hui, je vais vous faire découvrir une tribu aux mœurs particulièrement répugnantes du peuple infecté de peste brune des Onéchénous. Le front bas, l’œil torve, les idées au ras du caniveau, et l’étendard fasciste au symbole extrêmement droitier, tout y est. Ne manque plus que la prose débile et les concepts creux genre « remigration » dont ce genre de neuneus sans cervelle nous affligent, alors qu’ils n’ont en majorité même pas assez de neurones pour en maîtriser l’extrême vacuité. C’est l’excellent site La Rotative, que j’ai si souvent grand plaisir à lire, qui nous en trace le portrait, puisque ces têtes vides empestent plus particulièrement Tours, la ville sur laquelle ce site d’infos alternatives pertinentes agit. Présentation :
Depuis quelques mois, un groupe ouvertement fasciste multiplie les collages d’affiches et d’autocollants dans les rues de Tours. Présentation de la « Dissidence Française », nouvel avatar de l’extrême-droite radicale en Touraine.
Apparue à Tours via une page Facebook en mai 2016, la section tourangelle de la Dissidence Française (DF) vient combler le vide laissé par la disparition de Vox Populi, dont le chef Pierre-Louis Mériguet a rejoint le Front National. A ce jour, ils n’ont pas une grosse activité à faire valoir, à part quelques collages de banderoles, d’affiches ou de stickers [1] et une maraude organisée par trois ou quatre militants dans les rues de Tours début décembre. Pour autant, il est toujours préférable de savoir à qui on a affaire. En l’occurrence, un groupe raciste et antisémite.
Reprenant un article de La Horde :
« La Dissidence a jusqu’à présent été un groupuscule discret quant à son activité, et dont les militants étaient peu nombreux. Mais depuis un peu plus d’un an, Vincent Vauclin et ses amis ont visiblement réussi à rencontrer quelques jeunes à la dérive venus renforcer leur rang, et la Dissidence a ramassé les miettes d’un petit groupe parisien lui même émanant d’un groupuscule marseillais, le tout permettant de dépasser la poignée de militants et de faire « comme les grands » en paradant dans les rues de Paris. »
Si en bon ethnologue antifasciste ou en simple curieux de ce genre de faune toxique pour l’intérêt collectif vous souhaitez en savoir plus, je vous invite à lire en totalité l’article de La Rotative ici.