Mon enfance mariait les différences,
Mon innocence mélangeait les couleurs,
Mon espérance assemblait les êtres,
Ma conscience combattait les souffrances,
A vieillir perdons-nous nos certitudes,
Soumis à nos doutes par folle habitude,
Ou prisonniers des regrets par folle attitude,
Que revienne,quand bien même cette immédiate vieillesse,notre éternelle jeunesse,
Que revive dès ce temps notre divine sagesse,
Que s’exprime enfin,en toute liberté de cette inique personnalité,
Notre amour en ces jours.