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Critiques Séries : Lemony Snicket’s A Series of Unfortunate Events. Saison 1. Episode 5.

Publié le 22 janvier 2017 par Delromainzika @cabreakingnews

Lemony Snicket’s A Series of Unfortunate Events // Saison 1. Episode 5. The Wide Window : Part One.


Le format de A Series of Unfortunate Events est très différent de bien d’autres séries mais je crois que si cela fonctionne en tout cas dans cet épisode c’est grâce à la présence d’une guest star de choix : Alfre Woodard. Cette dernière est toujours aussi excellente dans les rôles que les séries peuvent lui offrir et c’est en grande partie grâce à celle que cet épisode fonctionne. Ce n’est pas Olaf qui permet à A Series of Unfortunate Events de fonctionner, ce sont ces personnages crédules qui ne voient jamais Olaf sous les grimaces qu’il utilise afin de subtiliser les Baudelaire sous les yeux de tout le monde. L’histoire de Joséphine est intéressante elle aussi, aidée par Alfre Woodard, mais pas seulement. Le personnage en lui-même est intéressant et sa relation avec les orphelins l’est tout autant. Après avoir réussi à vaincre le comte Olaf dans « The Reptile Room : Part One & Two », ils sont envoyer dans un tout nouveau lieu où forcément le danger continue de roder. L’endroit est somptueux et tout va à un moment donner tourner au drame. Mais cette trame, la série l’a déjà utilisé avec les deux épisodes précédents. Ils vont ici rencontrer quelqu’un qui est lié aux parents Baudelaire et qui sera leur nouveau gardien. Mais Olaf est toujours là pour les rattraper, se déguisant en quelqu’un (ici en a un capitaine de navire) dans le but de surprendre tout le monde, sauf les enfants.

Et le comte Olaf réussi toujours son plan maléfique jusqu’à ce que les enfants soient les seuls à pouvoir se battre contre lui. Et l’on ne peut pas vraiment dire qu’ils soient aidé par Mr Poe dont la présence reste assez inutile. Si cette structure est assez classique et surtout répétitive par rapport à ce que l’on a vu précédemment dans A Series of Unfortunate Events, la série parvient ici à utiliser son idée intelligemment. Notamment car Josephine, incarnée par Alfre Woodard, est attachante et que sa relation avec les Baudelaire est tout de suite sympathique. On s’attache à ce que A Series of Unfortunate Events nous raconte avec tellement d’innocence enfantine. Il n’y a rien de bien original au fond dans cette série mais sa façon de faire me plaît malgré tout. Et je pense que c’est aussi pour ça que la série fonctionne. Les scènes chez la tante Josephine font un beau boulot afin de faire en sorte que tout se tienne ensemble. De plus, toute cette histoire avec les parents Baudelaire et cette organisation secrète a plus de sens dans cet épisode de A Series of Unfortunate Events que dans le double épisode sur Monty. Peut-être que l’oncle Monty n’a pas vu venir son destin car il était trop occupé avec ses histoires scientifiques mais je ne suis pas sûr que cela soit vraiment le problème dans cette histoire. Je me demande ce que la Part Two va bien pouvoir nous réserver, d’autant plus que la conclusion de l’épisode laisse pas mal de possibilités.

Note : 8/10. En bref, grâce à une guest et de bonnes surprises, A Series of Unfortunate Events fonctionne.


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