Ces dernières années et à la fois pour les deux épreuves de slalom et de slalom géant, le résultat des courses de ski est toujours assez facile à prédire quand au nom des skieurs qui ont une chance de finir sur le podium.
On ne peut pas en dire autant de la descente et, dans une moindre mesure, du Super G. Les épreuves de vitesse sont en fait très imprévisibles et tandis que les meilleurs coureurs gagnent le plus souvent, cette définition de qui sont les « meilleurs coureurs » passe de 3 à 5 en dans des épreuves techniques pour monter entre 10 à 20 dans les courses de vitesse.
La descente contient un maximum de paramètres qui la rende très difficile à pronostiquer, qu'il s'agisse du matériel, de sa préparation, du choix de fart, de la vitesse à certains passages, de la ligne idéale, de la visibilité et bien sûr, des conditions de neige. Par conséquent la marge d'erreur y est énorme et influence les résultats en conséquence.
C'est peut-être pourquoi le vainqueur de vendredi dernier dans la descente de Garmish n'a fini que douzième le lendemain ...