Oh mais nos poules (dodues) de luxe de l'Assemblée Nationale ressortent Condorcet pour qu'on les laisse picorer leur grain tranquillou, à l'instar de leurs collègues roumains venant de voter une loi pour dépénaliser la corruption des élus. La République doit être le garant de leurs excès (parce qu'ils sont censés nous représenter, hum...hum...) et on doit les laisser faire leurs pitreries à répétition dans leurs alcôves douillettes, et ce, sans contrepartie, sans aucun droit de regard de ce qu'ils appellent "le peuple". Grosso-modo, c'est sanctuariser le vice. Et de s'offusquer avec force caquètements d'une inconstitionnalité supposée d'un regard de la justice sur leurs ébats débats dans la bénédiction mondaine de l'entre-soi politicard parisien.
Pour Bernard Debré, il est "anormal que l'on vienne perquisitionner chez des députés"
"C'est anormal que l'on vienne perquisitionner chez des députés parce qu'il y a des dossiers qui ne regardent personne". La phrase est signée Bernard Debré, député Les Républicains, interrog...
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#PenelopeGate Dans ce cas là, il faut le dire à @BernardAccoyer qui avait autorisé la perquisition du bureau de @juliendray en 2008... https://t.co/RQjnxkwRQl
— Marc Leplongeon (@MarcLeplongeon) 31 janvier 2017