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Isabelle Mercier: sans pitié à la table de jeu

Publié le 27 mars 2008 par Jeuxpoker

Isabelle Mercier: sans pitié à la table de jeuInventé par et pour les hommes, le poker d’aujourd’hui semble démentir de plus en plus son renommé. Maintes fois, les femmes ont démontré que, même avec un potentiel d’agressivité (nécessaire dans le jeu) moins élevé, on peut aussi bien faire performance au poker.

Isabelle Mercier gagnait en 2004 Ladies Event de World Poker Tour et suite à son style agressif de jeu, elle a été surnommée “No Mercy”. A cette occasion, PokerStars l’a observée, en lui proposant l’une des meilleurs contrats de sponsorisation du monde du poker. C’était, pour elle, un rêve devenu réalité. Depuis, grâce à ce contrat, elle a eu la chance de jouer dans des tournois de poker partout dans le monde. En échange, ce qu’elle doit faire pour PokerStars est promouvoir le site par tous les moyens possibles.

Regardant en arrière, Mercier se rapelle que ses débuts dans les salles de poker n’étaient pas très faciles, en dépit d’une expérience de jeu qui commençait depuis l’âge de trois ans. “Au début, j’ai joué à des tables aux entrées moins élevées, et j’ai eu des difficultés à arriver à la table finale. A présent, je ne ressens pas la même tension, et les choses vont mieux pour les jeux en cash. A 18 tables de 20, je sors en profit. Je ne joue pas fréquemment, d’habitude je participe aux concours.”

Le contrat avec Pokerstars, Mercier le voit de très bons yeux. “Le gros argent n’est pas dans le jeu, mais en tout ce qui l’entoure. On ne peut pas gagner d’énormes montants du poker, sauf qu’on gagne des concours majeurs. L’affaire conclue avec PokerStars m’aide à jouer au poker quand je veux. Il y a quelques, j’avais la tête pleine de pensées liées aux affaires avec du poker, et de cette façon, je n’ai réussi qu’à perdre d’argent chaque fois que je m’assoyais à une table de poker. Ce genre de choses peuvent avoir une influence négative sur le jeu en soi. Mais lorsqu’on a mille choses à faire, il est plus facile de laisser tout tomber pour le lendemain et décider de jouer au poker quand on a envie!”


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