Jour, Bon-jour.
En ce quinzième jour du mois de février, voici la review du mois du James Bond du mois. Cette semaine, un meilleur générique, un scénario cliché, et des gonzesses dénudées.
(On me souffle à l’oreille que ce sera pareil pendant les vingt années qui suivent. Eh merde.)
Je spoile!
Le chef du SPECTRE veut se venger de la mort de son numéro 2, le Dr No. Pour ce faire, il envoie Rosa Klebb, son numéro 3, manipuler James Bond afin qu’il vole un cryptogramme soviétique qui pourrait, à terme, déclencher une guerre entre l’URSS et l’Angleterre…
Le deuxième opus des aventures de Zames ont le même gout du cliché que le premier: les Russes c’est des méchants, les filles c’est des bikinis ambulants, et le SPECTRE c’est que des cons.
MAIS, et ça m’étonne de l’écrire ici, FRwL a quand même de bons points. Un: il y a une femme qui ne tombe pas dans le lit de Sean, et c’est une méchante. Redoutable, même. En 1963. Chapeau!
Deux: l’apparition de Blofeld (même si l’on ignore encore son identité à ce moment-là) qui restera jusqu’à nos jours l’archnemesis le plus connu de Bond.
Trois: il y a un essai, peu concluant certes, à faire de James un monogame, puisque l’une de ses conquêtes du film précédent réapparait comme « petite amie » de notre agent secret préféré. Certes, pas Ursula Andress comme c’était originellement prévu, mais quand même.
Donc, c’est cliché, ça sent la naphtaline, mais il y a quand même amélioration nette du support, ce que j’apprécie grandement!
Bien sûr, niveau casting, nada à dire, si ce n’est l’arrivée providentielle de Q, aka Desmond Llewellyn, que je regrette toujours des années après son débile accident de voiture. Best Q ever. ❤
Anyway, un bon deuxième opus, et j’ai hâte de voir ce que le suivant me réserve!
Note: 6,25/10 (scénario: 5/10 (c’est cliché!) – jeu: 6/10 – BO: 7/10 (le premier générique original de la saga, et From Russia…with loooove est une putain de tuerie!) – esprit bondien: 7/10)