J'avais pris fait et cause pour ce coq condamné parce qu'il chantait la nuit au grand dam d'une voisine. Son propriétaire avait jusqu'à demain pour payer son amende ou tuer le gallinacé.
Mais voilà, la justice a finalement acquitté le pauvre coq au prétexte que l'infraction n'était pas assez étayée.
"Je vais pouvoir laisser mon coq chanter, c'est une victoire pour l'agriculture qui n'est pas toujours aimée".
C'est aussi une victoire du simple bon sens qui est de moins en moins partagé.