Mon entourage est déjà au courant mais à la maison, nous adorons les jeux, les bons jeux.
Tous les ans, nous essayons de trouver de nouveaux jeux et il faut bien avouer que nous sommes pas mal aidés géographiquement grâce au très connu, dans le milieu des jeux, FLIP : Festival Ludique International de Parthenay.
Avant d’emménager dans les Deux-Sèvres, je vous rassure, je n’avais aucune connaissance de ce festival et c’est bien dommage parce que j’ai loupé quelques années de visite à Parthenay. C’est un magnifique festival avec une ambiance super festive, gratuit et avec des bénévoles au top. En effet, durant le festival, vous pouvez tester énormément de jeux en vous asseyant simplement à une table et en jouant avec des visiteurs, des bénévoles, des professionnels du jeu et le plus intéressant à mes yeux : des créateurs.
Généralement, nous repartons de là-bas avec 2-3 jeux et pas mal de bonne humeur dans la tête.
Mais revenons-en au sujet principal : le 6 qui prend.
C’est un jeu de cartes avec un principe assez particulier qui permet de jouer rapidement et d’apporter pas mal d’ambiance. Et chose bizarre, nous l’avons découvert chez des amis, je ne crois pas l’avoir croisé en démonstration sur un stand au FLIP (3 années seulement de visites). Expliquer un jeu est un peu compliqué oralement, alors par écrit, je ne vais même pas essayer. J’ai trouvé cette vidéo sur le site de l’éditeur, ça fera l’affaire !
Vous pouvez également tester le jeu en ligne ici. Mais franchement, je suis pas sûr que ce soit l’idéal pour apprécier le jeu…
Vous pouvez vous l’acheter sur Amazon ici.
Je ne sais pas trop comment le vulgariser pour pouvoir le comparer à des « classiques » du jeu. Niveau jouabilité et ambiance, peut être qu’on pourrait le comparer à Uno mais rien à voir dans la gestion des cartes. Ici, à chaque tour, une carte de votre main est jouée et est perdue. Bref, on joue en 10 tours et celui qui a engrangé le plus de pénalités « perd » la manche. La partie se finit quand quelqu’un atteint 66 points de pénalités au bout des manches.
Bah en fait, j’ai réussi à l’expliquer…
Tcho, Hamtaro.