Bonjour les gens!
De retour aujourd’hui avec le TFSA habituel, et cette semaine, Tequi nous a demandé de citer Les personnages ratés de séries, ceux qui avaient tout pour être de bons personnages, mais qui ont complètement loupé le coche.
A cause de l’écriture du personnage ou du casting, il y a pas mal de raisons possibles, et vous remarquerez que OUAT aura une place de choix dans ma sélection!
5. Culverton Smith (Sherlock)
Ce sera le seul personnage de la série qui m’aura donné ce gout de pas assez. Alors sans doute que je suis influencée par mon amour pour le jeu de Toby Jones que j’adore dans les rôles de méchants, mais ce personnage-là a été bâclé, je ne sais pas, je le voyais plus villainous, vraiment plus comme un adversaire à la taille de Sherlie, et finalement, il aura fini en pavé dans la mare…
4. Cora Crawley, née Levinson (Downton Abbey)
Ce n’est pas un secret: je n’ai jamais pu me la saquer. Alors pourquoi? Parce que dans le propos, Cora pourrait être un personnage auquel il serait simple de s’identifier. C’est une mère aimante, une épouse qui fait de son mieux, et surtout une femme qui ne trouve pas sa place dans un monde qui change. Et pourtant, au fil des saisons, elle n’a fait que m’exaspérer et son personnage en tant que tel était juste pourrave…
3. Emma Swan (Once upon a time)
L’héroïne de OUAT est passée de jeune femme sassy et badass en saisons une et deux à personnage plat (comme son père), greluche, et tout juste bonne à se pâmer aux pieds de Hook. D’accord, elle peut tomber amoureuse, mais de là à devenir insipide, non merci!
2. Prince Charming (OUAT)
Il est plat, mais plat, ce mec! Pourtant le Prince Charmant en soi il devrait être charismatique, héroïque, un leader en puissance. Et au lieu de ça on a droit à ses « I will always find you » à toutes les sauces, un charisme de moule, et voilà quoi, un personnage d’une platitude affligeante. Même Steve Rogers s’est arrangé avec le temps, David!
1. Elizabeth Warleggan, précédemment Poldark (Poldark)
Ce personnage est juste pas possible, et c’est elle qui m’a sauté aux yeux en lisant le thème du jour. Elle aurait pourtant pu être une femme plus forte, car elle traverse pas mal d’épreuves en deux saisons. Et pourtant, je ne sais pas si c’est le jeu en mousse d’Heida Reed ou l’écriture d’Elizabeth en soi, mais elle ne sert strictement à que dalle. Même la guéguerre entre George et Ross pourrait se passer d’elle, tant elle n’est pas un enjeu en soi. Pfffff…