- Tu pourrais dormir avec moi cette nuit ? proposa alors le jeune homme.
Demain tu ne travailles pas…
Il saisit sa main petite et froide et la porta à ses lèvres. Il regardait tout à coup sa bien-aimée comme un être vulnérable qu’il fallait aimer plus que tout au monde. Sonia s’est hissée sur la pointe des pieds et l’embrassait dans le cou. Elle était si menue et lui si grand, si massif, qu’ils auraient dû avoir du mal à marcher l’un contre l’autre, et pourtant leurs pas s’ajustaient à merveille.
Sophie Avon, Les amoureux
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Quand tu liras ce papier J’ai besoin d’elle Fragile, j'ai froid sans toi Qu'il me baise des baisers de sa boucheEmois
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