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Black Lagoon : mi-figue mi-raisin

Publié le 31 mars 2017 par Damien Guillot
Black Lagoon

J’ai un avis partagé sur cet anime avec un début intéressant puisqu’il met en place tous les personnages et le contexte, un milieu vraiment pourri (je vais pas mentir, j’ai pas apprécié) et une fin (de saison 2) très intéressante avec un aspect plus psychologique mis en évidence avec l’apparition d’une ébauche de relation particulière entre deux personnages. Cette fin de saison 2 me pousse à aller plus loin mais…

Tokyo MX (2006)

Black Lagoon

Okajima Rokuro est un jeune diplômé qui mène une vie morose depuis qu'il a intégré une grande firme japonaise....

Fiche BetaSeries

Il existe en effet une saison 3 composée en fait de 5 OAV (ce sont des vidéos sorties directement en DVD ou autre support mais pas spécialement diffusées à la télévision) et c’est ça le problème pour moi, je ne sais pas pourquoi mais il est rare que je sois fan des OAV. J’ai l’impression à chaque fois que les animes essaient de tirer un maximum de fric au détriment de l’histoire. D’ailleurs, quand on en est à la sortie des OAV uniquement (je précise parce que certaines animes poussent le vice jusqu’à continuer les sorties à la télévision et en parallèle les OAV), c’est que ça sent la fin

L’univers est pourtant sympa, on est en plein coeur d’une ville imaginaire dirigée par la mafia russe en cohabitation avec d’autres mafias et des mercenaires. C’est une équipe de mercenaires ou plutôt de transporteurs spécialisés composées de 3 personnages de base et d’un autre que vous allez pouvoir suivre au fil des 24 épisodes et 5 OAV (j’ai pas encore regardé les OAV et comme je l’ai dit plus haut, je suis pas sûr de le faire).
Les personnages secondaires sont intéressants mais, pour la plupart, pas au service de l’intrigue principale (si elle existe…). En fait, à un moment, c’est un enchaînement d’épisodes sans aucunes relations entre eux, on se croirait dans les fabuleux épisodes de Naruto, les fameux hors-saisons très peu appréciés et tant redoutés quand ils viennent mettre en pause l’histoire principale. Je peux le tolérer sur une série comportant plus de 300 épisodes mais sur 24 épisodes… Franchement…

Il y avait pourtant beaucoup mieux à faire avec cet univers et ce dessin. Le graphisme et l’ambiance (avec la bande son notamment) sont superbes, c’est ce qui m’a fait tenir avec l’enchaînement en fin de saison 2 de quelques épisodes avec une trame commune, cette série aurait tellement dû être comme ceux-ci.
La série est disponible sur Netflix, sans les OAV. Libre à vous de vous faire un avis. Juste une petite précison, sur Netflix, elle est classée « Pour Adultes ». En effet, il faut avouer qu’elle est bien violente avec quelques ambiances très noires, parlant de pédophilie, tortures et autres joyeusetés…

Tcho, Hamtaro.


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