J'ai été ravi de constater que nous avions finalement répondu aux actes barbares de Bashar al-Assad.
C'était en grande partie une surprise, car en 2013, Trump avait exhorté Obama à se tenir à l’écart d'une intervention en Syrie et, il y a encore quelques jours, son administration s’était engagée à ne pas s'impliquer dans ce conflit.
Cette action spectaculaire démontre donc que Donald Trump suit d'avantage ses instincts qu'un processus stratégique bien réfléchi et qu'il doit tirer une grande fierté à se sentir capable de prendre des décisions rapides et spectaculaires, ce qui n'est pas du tout un choc pour moi.