Je rentre d’un circuit de randonnée en Nouvelle Zélande.
Après une douzaine d’heures de vol, nous avons fait escale à Singapour pour une journée. Un tour de ville était au programme.
[Diaporama]Nous avons commencé notre découverte de la Nouvelle-Zélande par Auckland, au nord d’une des deux îles principales et avons poursuivi en direction du sud, avant de prendre un ferry pour rejoindre l’île du Sud à Picton.
Notre programme était le suivant :
- 1er avril : départ de Paris
- 2 avril : escale à Singapour
- 3 avril : arrivée à Auckland
- 4 avril : péninsule de Coromandel, Cathedral Cove, Rotorua.
- 5 avril : zones géothermiques de Rotorua, Wai o Tapu, parc national de Tongariro.
- 6 avril : Tongariro, vers Wellington
- 7 avril : ferry interîles, Picton (île du Sud), Queen Charlotte Drive et Marlborough Sounds, Nelson.
- 8 avril : parc national Abel Tasman
- 9 avril : cap Foulwind (colonie d’otaries), parc national de Paparoa, Pancake Rocks, Hokitika.
- 10 avril : parc national de Westland, lac Matheson, glacier Fox, Wanaka.
- 11 avril : parc national d’Aspiring (Rob Roy Glacier), Wanaka.
- 12 avril : parc national du mont Cook, Hooker Valley, Tasman Glacier, Mount Cook Village, au pied des géants.
- 13 avril : lac Tekapo, mont John, nuit à Christchurch.
- 14 avril : départ pour Paris, escale à Singapour
- 15 avril : arrivée à Paris
La Nouvelle-Zélande est un pays très vert, avec des prairies à perte de vue, des forêts primaires de type tropical. Le long des routes, les paysages sont verdoyants, les villes très éloignées les unes des autres. Les habitants sont chaleureux, renseignent facilement les touristes dès qu’ils les voient un peu perdus 😉 Et à tout âge, ils sortent leur smartphone pour nous indiquer le chemin…
Mais au-delà de cette image idyllique, la Nouvelle-Zélande montre un autre visage. Nous n’avons vu aucun petit commerce alimentaire, en dehors de quelques boulangeries. Les supermarchés, dont bon nombre d’entre eux sont ouverts jusqu’à 22 heures, proposent de la « nourriture industrielle ». Bien que les touristes aient l’obligation de pénétrer sur le sol néozélandais avec des chaussures de randonnée dont les semelles ont été nettoyées afin d’éviter de mettre en danger la forêt native, les prairies sont arrosées de pesticides, l’élevage y est intensif avec des troupeaux de plusieurs centaines de têtes, les montagnes sont plantées de pins radiata, et on assiste à la déforestation de massifs entiers ; dans certaines régions, les mines d’or entaillent la forêt.
Malgré ce curieux paradoxe, les paysages sont impressionnants, je mettrai progressivement en ligne les photos que j’ai réalisées…
Ecrit par Lise - Site