Vendredi soir, j'ai regardé "Latin Music USA", une excellente série télévisée mettant l'accent sur la fusion des airs latins avec le jazz, le rock, le « country-music » et le « rythm and blues », depuis les débuts difficiles du genre jusqu'à son émergence dans un domaine où les blancs « anglos » dominaient la musique, avant que cette tendance latine ne devienne un phénomène mondial irrépressible.
De Ritchie Vallens à Santana, en passant par Ricky Martin, Gloria Estefan ou Shakira, la planète entière a su percevoir et retenir ce qui était de qualité en matière musicale.
Cette évolution a montré que cela nous plaise ou pas, à quel point nous sommes devenus une société planétaire, et que si les artistes, leur idées et leurs produits sont bons, ils seront adoptés par le monde entier, contrairement au vues étroites et restrictives auxquelles s'agrippent encore des gens comme Trump, Le Pen, Netanyahu ou Kim Jong-un's.