« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » disait Lavoisier. (Une occasion de faire connaissance avec son illustre inspirateur, Anaxagore) L’actualité politique nous en donne encore la démonstration. Il semblerait que nos journalistes deviennent quelque peu flemmards puisque je n’ai vu personne pour l’instant l’évoquer. Ils nous présentent pourtant comme un événement ce qui n’en est pas un, et n’a rien de nouveau. Ceci :
sourceOr, dans la course à la transformation du parti nécessitée par l’échec à l’élection présidentielle de leur candidate, apparue si désespérément nulle aux yeux de bien des bas du front, il semblerait que Philippot ait une longueur d’avance. je sais en effet qu’il avait déjà posé un jalon.
sourceDès 2015, Joffrey Bollée, Directeur de cabinet de Florian Philippot (impliqué selon le Monde dans l’affaire des emplois fictifs au parlement européen), avait procédé à l’INPI à un dépôt de marque, « Les patriotes », comme le démontre le document que j’avais publié alors dans le billet qui était consacré à cette histoire.
… Voilà ce qu’en disait Joël Gomblin, alors chercheur en science politique, de ce dépôt de marque :
La suite a confirmé la justesse de l’analyse. CQFD. Rien de nouveau sous le soleil. Ôte toi de là, insignifiant petit bas du front du nom de Philippot (et si ce n’est toi, c’est donc ton frère 😉
Post-scriptum j’apprends en outre que cette pseudo « création » ne fait pas que des heureux…
Enregistrer