C'est le Léon Zitrone japonais commentant une course hippique, il vit les déroulés de ces petites billes comme si à chaque instant on était au bord de la rupture. Intense.
Pour ce qui est du Rube, il n'est ni très original, ni très chiadé, ni très esthétique mais il est pile poil dans le dogme : une seule prise pour une succession incessante de micro-événements qui font qu'on est ébahis comme Jacques le Fataliste devant la succession inexorable. Tout serait-il donc prédéterminé, écrit à l'avance sur un grand rouleau ?