
Habituellement, il faisait froid, tout était sombre, il n'y avait plus le temps pour procrastiner, il fallait le faire tout de suite. Cette année, la routine a changé quand j'ai décidé de faire ce travail à l'air, devant la maison, sur le patio, sous un éclairage parfait, une température confortable, vêtu en shorts et t-shirt.
J'ai travaillé sur quatre paires de skis. Les miens (deux paires) et ceux de ma femme et de ma fille. Leurs skis étaient en bien meilleur état que les miens, reflétant à la fois leur plus grand soin et ma brutalité bien ancrée.
J'ai réparé les semelles, fait les carres mais je ne les ai pas farté. J’attends la veille de la prochaine de ski pour ça !