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Le James Bond: Live and let die (Ciné)

Publié le 15 août 2017 par Bigreblog

Hello les gens et bienvenue pour une nouvelle entrée de film bondien!

Cette fois, point de Sean Connery à l’horizon, puisqu’il a enfin décidé de prendre sa retraite après l’opus raté qu’a été Diamonds are forever… Cette fois, on accueille donc le plus flegmatique des Anglais, Sieur Roger Moore.

J’en profite donc pour lui rendre hommage, car après visionnage de ce film, je me suis réellement rendu compte à quel point il était génial, et il a même détrôné Sir Sean sur la podium de mes Bond préférés…même si Timothy Dalton reste numéro un! ❤ Rest in

Et on spoile.

😉

Trois agents de liaison du MI-6 sont assassinés dans trois lieux différents. James Bond est dépêché sur l’affaire, et découvre bien vite qu’une drôle d’entourloupe se construit autour d’un seul et même personnage, le Dr Kananga

Le James Bond: Live and let die (Ciné)

Je ne me souvenais pas avoir vu cet opus auparavant (même si ça a sans doute été le cas, il n’y aucun des Bond que nous avons pas vu dans la famille). Ca m’a déjà donné une forte idée sur le niveau du film, ou plus précisément, sur le niveau du scénario. Merdique. XD

Il faut dire que Live and let die se repose entièrement sur la ségrégation des Noirs et sur les clichés qui tapissent le film, jusqu’à en faire une totale caricature du racisme ordinaire.

Par contre, j’ai beaucoup aimé me retrouver dans le folklore créole, et à la Nouvelle-Orléans. Où je ne passerai jamais dans un cortège funéraire, donc. XD

Les croyances des autochtones sont très bien gardées, jusqu’à utiliser une légende personnifiée, le Baron Samedi. Well done.

Le James Bond: Live and let die (Ciné)

A part ces incartades vraiment dérangeantes et cette culture qui ne fait pas défaut (deux gros paradoxes), ce Bond détonne par la différence flagrante entre le Sean écossais et BG dont l’accent ressort parfois; et le Roger totalement Anglais jusqu’à en devenir bourgeois et qui base son charme sur un humour vraiment unique. Un passage de flambeau largement réussi selon moi!

Reste à parler du reste du casting, inexistant, puisque le grand méchant a un charisme de moule et que cette pauvre Jane Seymour qui faisait là ses premières armes au cinéma a été reléguée au plan de Bond Girl insipide.

Franchement, il est temps que ça évolue, les enfants!

Note: 5,25/10 (scénario: 3/10 jeu: 5/10BO: 7/10 (générique inoubliable, merci Paul!)esprit Bond: 6/10)

Le James Bond: Live and let die (Ciné)



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