La joie bruyante des hommes s'est tue.
Au murmure merveilleux des bois
Et de la plaine qui chante comme en rêve
Mon coeur -qui l'avait presque oublié-
Revit le passé doux et triste.
Des frissons légers passent sur mon âme
Comme des éclairs d'orages dans la nuit.
Joseph Karl Benedikt von Eichendorff
Schweigt der Menschen laute Lust :
Rauscht die erde wie in Träumen
Wunderbar mit allen Bäumen?
Was dem Hertzen Kaum bewusst,
Alte Zeiten, linde Trauer,
Und es schweifen leise Schauer
Wetterleuchtend durch die Brust.
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