N’oublie pas, mon amour.
Le paradoxe du parfum, c’est qu’il libère ce qu’il capture.
Capture la vie et libère-la.
Capture les odeurs de la vie et libère-les.
Qu’elles jaillissent de tes paumes, de tes hanches,
de tes yeux vifs à tout saisir,
mourants lorsque tu t’abandonnes.
Lyonel Trouillot
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