La suite en Saone et Loire, après Paray-Le-Monial, était Cluny. Visite rapide, dans un village que je voulais voir. Absolument.
Ce passage explique forcément le pourquoi de mon attachement à cet endroit perdu entre Bourgogne et Morvan. Un endroit que je n'aurais pas forcément connu si je n'avais eu un attachement à certains trucs qui sont que l'on est ce que l'on est. La phrase est longue et ne veut rien dire, mais je la comprends et la vis, et c'est l'essentiel.
Nous avons une pause très (trop) rapide dans ce village. Il était midi, il faisait un soleil fascinant, qui rayonnait et embellissait toutes les rues et pierres de ce village. Forcément, il faudra que je revienne marcher dans l'abbaye.
J'y reviendrai. Je pense avec mes enfants : j'ai envie de leur transmettre ce patrimoine, qui est aussi personnel, et un peu intime.
Cluny est une magnifique étape de mes vacances, qui m'auront fait faire pas mal de kilomètres. Si j'arrête de parler politique et football dans ce blog, j'aurais pas mal de cartes postales pour faire passer la pilule de Septembre.
D'une rentrée qui m'effraie. Et ce n'est pas les nouvelles du jour sur les ordonnances Macron qui me rassurent.
Alors je pense à mes vacances, et à mes villages. Cette halte à Cluny était délicieuse.
J'aime beaucoup mon dernier billet d’Août.