Aujourd’hui j’ai reçu le mail d’une petite maison d’édition parisienne qui ne peut publier
mon manuscrit, en raison, dit-elle, de ces quotas annuels déjà atteints. Jusque là, j’accueille le message avec une résignation tragique en accusant la vie de
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Aujourd’hui j’ai reçu le mail d’une petite maison d’édition parisienne qui ne peut publier
mon manuscrit, en raison, dit-elle, de ces quotas annuels déjà atteints. Jusque là, j’accueille le message avec une résignation tragique en accusant la vie de
