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One more light – Le dernier album de Linkin Park (Music)

Publié le 29 septembre 2017 par Bigreblog

Coucou les amis!

Aujourd’hui pas de TFSA, mais un article qui me trottait en tête depuis quelque temps déjà. Un article qui sera sans aucun doute écrit les larmes aux yeux, relu le cœur serré aussi, mais un article-hommage qu’il faut que je fasse.

Le 20 juillet dernier, j’ai perdu l’un des artistes que j’aimais le plus sur cette planète, et une fois encore, il est parti à cause de cette maladie dont tout le monde se contrefout.

Mais, et c’est là l’utilité de cet article, One more light est un album adieu pour Chester Bennington, car nombre de ses chansons ont le gout doux-amer de l’au revoir…

OML est sorti dans les charts le 19 mai de cette année, trois ans après The Hunting Party, qui ne restera pas dans les annales malgré ses quelques titres très bons.

Ce que j’aime chez LP, c’est leur façon de renouveler leur musique sans cesse. Aucun de leurs albums ne se ressemble vraiment, et c’est là une énorme qualité je pense chez des artistes aujourd’hui.

Une qualité qui leur a valu énormément – et trop sans doute – de critiques négatives, infondées selon moi.

L’album s’ouvre sur la très belle Nobody can save me, dont le texte fait déjà lourdement écho aux troubles que vivait Chester à ce moment-là. Il a en effet co-écrit la plupart des chansons de l’album, et ça se sent…

Good Goodbye, outre être peut-être prémonitoire, est quant à elle une chanson plus électro qui réveille les consciences.

Talking to Myself est là où ça se corse. Chester l’a en effet écrite pour son épouse, et le texte est écrit dans son point de vue à elle face à la dépression de son mari. Une magnifique preuve d’amour mais qui fait encore plus mal que les autres…

Le clip a d’ailleurs été lancé le jour-même de la mort de Chester… ❤

Battle Symphony est là encore plus rythmée, mais le texte une fois encore me fend les tripes en deux…

Invisible et Heavy (que j’ai déjà citée dans mes Ça tourne en boucle) passent limite inaperçues mais n’en restent pas moins de très bons titres.

Sorry for now est la seule de l’album à être chantée en grande majorité par Mike Shinoda, et désormais, quand je l’entends, j’ai un pincement au cœur en me demandant comment tous ses gens qui l’aimaient font pour faire leur deuil de Chester

Halfway Right, une fois encore fondée sur un texte puissant.

Puis, le titre qui donne son nom à l’album, One more light, LA chanson qui briserait le cœur à n’importe qui en possède un. Ce texte, j’ai l’impression qu’il l’a écrit au moment de mettre fin à ses jours tant cela reflète son mal-être et s’il avait survécu encore assez longtemps, je l’aurais serré dans mes bras pour lui dire que tout irait mieux…

😥

(Oui, je suis vraiment triste, je ne fais pas semblant.)

Et enfin, Sharp Edges, qui finit l’album sur un ton plus rythmé de nouveau, peut-être pour faire oublier le ton grave et sombre de ces dix titres qui resteront dans l’Histoire comme les derniers que Chester ait jamais chantés…

Linkin Park survivra, j’en suis certaine, ne fût-ce que pour rendre hommage à leur ami qui a grandi avec eux. Et je les suivrai et les écouterai jusqu’à la fin, pour que Ches nous entende de là-haut… ❤



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