Nul n’est juge de son semblable,
Tout au plus de cet être son geôlier,
Seule l’éternité nommera la vérité,
Elle-même jamais ne condamne,
En l’éternité chacun nomme ses erreurs,
Reconnaît de son âme sa responsabilité,
Sait qu’il devra par de nouveaux jours rendre à son coeur tout son honneur,
Pour son amour son divin bonheur.