Sans oublier les trois potiches de TF1
Un patchwork croquignolesque (sans doute un autre mot pour subsumer 'bordel') de références, de bric, de broc, tenue d'Arlequin en étendard (sans glands), 'en même temps' classique et moderne, simple et foisonnant. Un effet de polysémie sans doute assez bordélique, une sorte de FIAC présidentielle, une chambre d'ado intello où l'être s'étale en son apparence colorée, tissée de symboles qui sont à lire par des lacaniens de bazar y cherchant une lettre soi-disant volée sur le rebord de la cheminée.
Juste un rectificatif :
"Liberté, égalité, fraternité" de Shepard Fairey ("Obey" est une autre de ses toiles - mais -lettre volée ?- on la trouve mise en abyme dans le pentagramme)
Il y a aussi, caché par le graphisme, le livre Homo Deus.
Sur la table, lampe big game signée Augustin Scott de Martinville.
L’aveu ! Dans la France de Macron, les riches, sont premiers de cordée. Pas les travailleurs, les artistes ou les savants? Non, les riches.
— Gérard Miller (@millerofficiel) 16 octobre 2017
- Wenstein a agressé et violé plusieurs femmes...
— Gintoki Sama (@Sht_dono) 15 octobre 2017
Macron : Il faut protéger les femmes dans les quartiers, des pauvres et étrangers ! pic.twitter.com/UHY8ulGgbM