Dans la mesure du possible, je m'attachais à suivre la procédure suivante :
- Je faisais de mon mieux pour dormir autant que possible pendant le vol.
- J'allais courir ou je faisais de l'exercice dès que j'arrivais à destination.
- Je me persuadais que la nouvelle heure locale était la vraie et je ne cherchais jamais à « traduire » celle-ci dans l'heure qu'il pouvait être à la maison.
Bien évidemment, les vols vers l'ouest étaient un peu moins stressants, pour ces mêmes raisons. Assis sans bouger pendant des heures en respirant de l'air vicié, recirculé, n'arrangeait rien non plus.
Aujourd'hui, alors que je m'approche des 70 balais, la plupart de ces éléments négatifs semblent s’être amplifiés et souffrir d'un grand décalage horaire ne m'amuse plus beaucoup.
La morale de toute cette histoire: N'attendez surtout pas d’être octogénaires pour voyager !