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Critiques Séries : Grey’s Anatomy. Saison 14. Episodes 6 et 7.

Publié le 14 novembre 2017 par Delromainzika @cabreakingnews

Grey’s Anatomy // Saison 14. Episodes 6 et 7. Come On Down to My Boat, Baby / Who Lives, Who Dies, Who Tells Your Story.


Avec l’épisode 7 de cette saison 14, Grey’s Anatomy vient d’atteindre un chiffre symbolique : celui des 300 épisodes. Rares sont les séries qui ont eu droit à plus de 300 épisodes. Même Urgences va être battue dans peu de temps par Grey’s Anatomy puisque la série médicale de NBC avait atteint les 331 épisodes avant d’être annulée. Donc je pense que le vois mal Grey’s Anatomy s’arrêter avant deux ans au moins donc ce chiffre sera dépassé largement. Quoi qu’il en soit, cet épisode vient nous ramener aux origines de la série, nous rappeler pas mal de choses, ne serait-ce qu’avec le monologue d’ouverture de Meredith. En tout cas cet épisode fonctionne en partie grâce à la nostalgie qu’il parvient à créer chez les fans de Grey’s Anatomy, comme moi. En tout cas, j’ai ressenti une certaine dose d’émotions là dedans à laquelle je ne m’attendais pas forcément mais le départ de Riggs dans l’épisode 5 (car le contrat de l’acteur s’est achevé) est une bonne chose aussi pour que la série puisse reprendre du poil de la bête. Même l’épisode 6 est solide lui aussi. L’épisode 6 est fun dans son ensemble grâce à une utilisation judicieuse des personnages. Il y avait des intrigues funs, d’autres plus touchantes, des trucs parfois un peu idiots et puis des relations qui continuent d’être développées à la manière de ce que Grey’s Anatomy a toujours su faire.

Ce qui fait l’intérêt de cet épisode et sa réussite c’est le fait qu’il incarne parfaitement tout ce que j’aime dans Grey’s Anatomy, un classique de ce que la série sait faire et dont elle nous a toujours abreuvé depuis des années. Le cas d’Arizona et April était bon, et je trouve que ça fait du bien de voir la série aller dans cette direction là avec ces deux femmes. Mine de rien, les femmes ont énormément de place dans ces deux épisodes mais c’est un truc qui a toujours été une bonne chose dans Grey’s Anatomy. Entre cas funs et d’autres un brin plus touchants, la série trouve un équilibre qu’elle n’avait probablement pas eu depuis sacrément longtemps. Cela fait du bien aussi de voir les personnages sortir un peu de l’hôpital car ce n’est pas que je n’aime pas le Grey Sloane Memorial Hospital mais disons que cela commence à devenir redondant. L’épisode 7 est au contraire centré sur Meredith, qui va recevoir le prix de la consécration. Impossible pour moi de ne pas lâcher une petite larme à la fin de l’épisode quand la caméra se concentre sur une Meredith heureuse qui a toujours laissé passer la médecine avant le reste. Ses relations ne sont pas toujours ce que je préfère dans la série, mais le personnage est devenu au fil des années quelqu’un que j’ai appris à aimer. Ce que je trouve dommage cependant avec Grey’s Anatomy c’est le fait que Shonda Rhimes n’a pas réussi à faire mieux pour son 300ème épisode.

Après tout, il n’y a pas de brève apparition de Patrick Dempsey, même dans un flashback, pas de Katherine Heigl qui aurait pu nous donner des nouvelles sous les traits d’Izzie Stevens, Pas de Chyler Leigh, pas d’Eric Dans, pas de T.R. Knight, alors bien que certains soient morts dans la série, je trouve qu’une apparition dans un rêve de Meredith aurait une belle occasion de jouer la nostalgie et probablement de créer un épisode évènement comme Grey’s Anatomy n’en a pas connu depuis un bout de temps maintenant…

Note : 7/10. En bref, Grey’s Anatomy fête ses 300 épisodes avec un brin d’émotion, mais pas suffisamment à mon goût.


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