Il n'est donc pas étonnant que les opérateurs de stations de ski deviennent obsédés par la météo dès qu'arrive le début novembre.
Dans le passé, il faisait toujours un peu plus froid, donc si le manteau neigeux naturel faisait défaut, il était assez simple d'en fabriquer à coup de canons si on pouvait faire l'impasse sur les coûts de production.
Aujourd'hui c'est encore différent, car même novembre n'est plus aussi froid qu'autrefois, et les responsables des remontées mécaniques ne peuvent plus prendre de risques et compter sur la bénévolence céleste en attendant un très longue période de froid pour faire tourner les canons.
