Hier, ce fut Jean d'Ormesson, ce "Prof de l'Etre" qui partait, foudroyé par une crise cardiaque. Aujourd'hui, "notre Jojo national", vaincu par un cancer du poumon.
Dans un silence mêlé d'une étrange sensation, je n'étais même pas surprise de la nouvelle comme si le temps s'était juste figé quelques instants... Pourtant la peine est bien là, présente mais discrète, déjà mélancolique.