Il se fait taper sur les doigts par la Cour des Comptes. A raison ! Les Partenariats Public Privé, c'est l'équivalent du crédit revolving pour les particuliers. De plus c'est une solution de facilité pour un gouvernement qui consiste à prendre des engagements que les gouvernements suivants devront suivre.
Le rôle de la Cour des comptes consiste rarement à complimenter les administrations mais la volée de bois vert qu’elle vient de donner à la Chancellerie est particulièrement musclée.
Aimablement sous-titré : «Mettre fin à une fuite en avant», le rapport qu’elle consacre à la «politique immobilière du ministère de la Justice» est une dénonciation implacable du recours aux partenariats public-privé pour la construction de quatorze établissements pénitentiaires et de deux palais de justice, dont celui de Paris.
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