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1er janvier 2018 : jour funeste pour les Français !

Publié le 09 janvier 2018 par Delanopolis
Et si nous faisions un peu retour sur ce qui s'est passé en France en ce début d'année ? Et si nous nous rendions compte que, ce jour là, un tournant funeste a été pris par le sinistre Macron au préjudice de nos libertés, de notre patrimoine, de notre avenir ? Car tout est cohérent. 1er janvier 2018 : jour funeste pour les Français ! Récapitulons.

Une hausse de la CSG de plus de 20 %, puisque l'augmenter d'1,7 point c'est en réalité l'alourdir de 22,7 % très exactement.

Une hausse du prix des hydrocarbures et du gaz de près de 10 %, largement due à celle des taxes.

L'instauration d'un système de contrôle orwellien du stationnement dans plusieurs grandes villes où des salariés du privé peuvent verbaliser en infligeant des amendes multipliées jusqu'à cinq.

L'annonce d'une réduction de la vitesse de circulation sur les routes.

L'augmentation de nombreuses autres taxes, notamment sur le tabac.

L'annonce d'une législation répressive contre les prétendues "fausses nouvelles".

Une réglementation durcissant l'offre des VTC et autres Uber qui va précipiter vers la faillite de nombreuses micro-pme du secteur et brider un service nouveau hautement apprécié de ses utilisateurs.

De nouvelles règles absconses pour le remboursement des médicaments.

Une hausse du forfait hospitalier de près de 15 %.

Un durcissement à venir du contrôle technique des véhicules et conséquemment une augmentation de son coût.

Un autre durcissement de la réglementation des soldes.

Toutes ces mesures ajoutent à l'emplâtre bureaucratique qui pèse sur les Français et à leur contrôle social. Elles s'en prennent à la mobilité et à l'épargne, deux éléments essentiels de la liberté individuelle dans son exercice matériel, concret.

Les seuls contre-exemples sont la baisse en grande partie différée de la taxe d'habitation, et pas pour tous. Ou celle des cotisations sociales pour les seuls salariés, et pas pour tout de suite dans sa totalité.

Macron, banquier tondeur de gogos, enfant-prodige de l'oligarchie, ne sert en réalité que les intérêts de ceux qui l'ont fait élire : les grandes fortunes investies en placements financiers et propriétaires de médias. Le Macron de la libéralisation des dessertes de bus n'était qu'un leurre. Sa réalité est celle d'un énième rejeton du corporatisme d'Etat.

Au passage, il abîme nos libertés.


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