Je suis étonné par la situation de porte-à-faux de ceux qui se proclament très favorable à un accueil massif de réfugiés. Ils soutiennent que ce serait une chance pour le pays, phrase répétée comme un slogan qu'ils sont bien en mal de démontrer. Pourtant, ils ne peuvent vivre dans les villes où l'on accueille ces réfugiés, et se battent pour ne pas quitter les quartiers d'Ile-de-France composés de classes moyennes, même s'ils n'en ont plus les moyens.