Ce n’est pas moi qui le dit, hein… Mais lui :

Après deux ans à la région et une campagne des régionales aux côtés de Laurent Wauquiez, pourquoi avoir écrit ce livre ?
Philippe Langénieux-Villard : J’ai écrit ce bouquin parce que j’ai été extrêmement choqué – et c’est un mot très faible – par l’histoire de la baisse de subvention de la Maison d’Izieu. J’étais dans la commission culture quand ça s’est produit. J’ai vu les rires fendus du FN, qui se disait : “Enfin on a quelqu’un qui fait ce qu’on lui demande.” J’ai aussi vu la gauche folle furieuse et nous, comme des cons, qui étions obligés de nous taire. On a été très surpris ; même la vice-présidente ne savait pas comment répondre. Le danger avec lui, c’est de mettre la droite à l’extrême droite de la réflexion française. Ce n’est pas parce que l’on est jeune que l’on a des idées nouvelles. Il a des méthodes assez médiévales. C’est le fait du prince pour la récompense comme pour la punition. Il a des urgences extrêmement classiques. C’est-à-dire qu’il explique que tous les problèmes viennent de l’insécurité.
La critique est toujours meilleure, plus croustillante à mon sens, quand elle vient de l’intérieur… Surtout quand elle rejoint ma propre opinion à l’endroit de ce sale type, particulièrement toxique : ce type pue, définitivement. Je connais mon sujet…