Un article de Slate.fr
Si chacun peut ressentir le bonheur à n'importe quel moment de sa vie, une étude anglaise rapporte qu'il y a, tout de même, un âge «préférentiel».
Lire la suite ici :
N.B
Je confirme. Je n'ai jamais été aussi heureux que depuis 60 ans, l'âge de ma retraite.
Je ne travaille plus, mes enfants sont grands, je n'ai plus de problèmes d'argent, je suis célibataire et en bonne santé jusqu'à ce jour.
Le problème, c'est que mes enfants et mes petits enfants n'auront pas l'occasion de profiter comme moi des bienfaits de la vieillesse. Macron, et tous ses acolytes, vont tout faire pour que les gens travaillent le plus tard possible, afin de ne bénéficier éventuellement d'une retraite que juste avant de mourir, comme au bon vieux temps.
Sauf les riches bien entendu qui auront pu amasser tout ce qui leur faudra pour passer une heureuse retraite. Eux, leurs enfants et leurs petits enfants, sur plusieurs générations.
Ô tempora, ô mores !