Magazine Humeur
Concrètement, année après année, le gouvernement ne réussit
qu’à manquer de médecins et à faire attendre les patients.
Laisser tomber le contingentement artificiel et arbitraire du
nombre d’admissions et permettre à tous ceux qui en ont les
capacités d’étudier en médecine insufflerait une bonne dose
d’oxygène au système de santé québécois. Celui-ci pourrait
alors se développer au gré des besoins des patients, et non
selon les diktats des bureaucrates et des politiciens.--- Patrick Déry