LES SCIENTIFIQUES ABANDONNENT LA THÉORIE DU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE POUR CELLE DU REFROIDISSEMENT GLOBAL
Par LerebelleIl y a peu de temps lors d’une discussion sur Facebook ayant pour sujet le réchauffement climatique, j’affichais clairement mes positions dans ce domaine, à savoir que tout ceci n’est que pure arnaque visant à creer un marché très juteux se reposant sur l’ignorance générale du peuple dans ce domaine, ce dernier faisant aveuglément confiance aux scientifiques (ce que ne sont pas les membres du GIEC). J’ai dans cet échange d’opinions, eu droit aux foudres d’une illuminée dont la taille du rachis cervical devait être proche d’une cacahuète, m’affirmant en ces termes – sans pour autant citer la moindre source – que « 99% des scientifiques soutenaient la thèse du réchauffement… », me demandant également a demi mot et de manière hautaine qui étais-je pour aller à l’encontre de leurs avis ? Ne lui en déplaise, plus le temps passe, et plus les preuves que cette théorie est fausse s’accumulent, et comme le dit très bien le titre qu’a adopté Résistance 71 pour cet article : « Encore un clou dans le cercueil du Réchauffement Climatique Anthropique… ». Le veilleur « L’attention du débat public semble s’écarter de l’idée de la « pause » de 15-17 ans du réchauffement et se rapproche de l’idée d’un refroidissement depuis 2002… Les principaux acteurs du climat commencent à parler de la réalité du climat (à savoir le refroidissement), alors que la preuve empirique croissante continue à invalider la théorie du réchauffement sous les effets du CO2, le résultat de cela est un assouplissement du « consensus » » (Dr. Judith Curry)
Comme nous l’avons documenté dans des articles récents (ici, ici, ici, ici et ici), les sets de données de la température globale révèlent que depuis plus de la dernière décennie, les températures de la surface du globe ont stagné et qu’elles sont même plutôt en train d’entrer en phase de refroidissement à l’heure actuelle. Ceci s’est produit malgré une énorme addition de CO2 dans l’atmosphère durant cette même période. Faisant face aux réalités empiriques, beaucoup de scientifiques du climat et d’autres chercheurs, questionnent maintenant le « consensus » de la théorie du rapport entre le CO2 et le réchauffement climatique anthropique (RCA), disant que les émissions de CO2 humaines produiront un réchauffement climatique global immédiat et dangereux et qu’au lieu de pousser le « réchauffement » politiquement correct, de plus en plus de recherches sont maintenant effectuées sur un refroidissement global. Mais pourquoi de respectés chercheurs sur le climat chercheraient ils maintenant à agiter le spectre d’un refroidissement global et de ses méfaits potentiels ? Hum.. Peut-être cela a t’il quelque chose à voir avec le soleil non ? Comme le montre le graphique de gauche, le cycle solaire actuel (#24) est un cycle très faible qui montre un déclin significatif de l’activité solaire. Comme tous les scientifiques le savent et l’admettent, une faible activité solaire a une forte association avec un refroidissement, pensez au type de refroidissement du type de celui du « petit âge glaciaire » passé. La vaste majorité des scientifiques reconnaît maintenant que la Terre vient juste de faire l’expérience d’une période connus sous le nom de « Maximum Moderne » de l’activité solaire (regardez les deux graphiques solaires sur cette page). Le fait que les températures globales ont augmenté durant cette période mène beaucoup à conclure que peut-être les émissions humaines de CO2 ne sont pas une « influence majeure » sur le climat comme l’a affirmé le GIEC de l’ONU. En fait, lorsque les scientifiques commencent à déconstruire les températures récentes, il devient rapidement évident que les niveaux de CO2 atmosphériques n’ont probablement rien à voir avec une « accélération » et un « dangereux » réchauffement climatique. Ceci nous amène au second graphique en haut. Celui-ci peut aider à expliquer pourquoi de plus en plus de scientifiques du climat sont en tran de changer leurs croyances dans le « consensus » sur le RCA. Ce graphique regroupe les niveaux mensuels de CO2 (points noirs) et le décompte des tâches solaires (courbe rouge/jaune) depuis 1979 et 10 ans de données (mois par mois) pour le RSS des températures de la basse atmosphère (colonnes bleues). L’ère des satellites nous a amené la première année de mesures mensuelles atmosphériques en 1979, ainsi les premières 10 premières années finiraient donc en Décembre 1989, là où les colonnes bleues commencent. Qu’est-ce que ce graphique d’évidences empiriques indéniables et irréfutables nous suggère ? 1) « L’accélération » du réchauffement global a en fait décéléré en comparaison des pointes notées en 1998 et 2002, notez la décroissance de la solide ligne bleue. 2) Les tendances des plus récentes 10 années (colonnes bleues à l’extrême droite) sont devenues négatives, un refroidissement global de l’atmosphère s’est produit ces 10 dernières années + 3) Comme le graphique l’indique clairement, les tendances de température globale se sont effondrées depuis 2002 et pourtant les niveaux de CO2 atmosphériques continuent de grimper robustement (même atteignent des records) 4) La ligne de tendance marron nous montre le décompte des tâches solaires (un proxy pour l’activité solaire) et celle-ci a aussi décliné. 5) Les cycles solaires sont notés en bas du graphique et le cycle solaire actuel #24 est très faible en comparaison de ses prédécesseurs (cela confirme les données sur le graphique de gauche) « L’accélération » du réchauffement global a en fait décéléré en comparaison des pointes notées en 1998 et 2002, notez la décroissance de la solide ligne bleue. Quand des scientifiques objectifs prennent connaissance de cette preuve empirique, ils concluent le plus probablement que les émissions humaines de CO2 n’ont rien à voir avec l’accélération des températures lorsqu’elles se produisent et que l’activité solaire est un facteur bien plus puissant des températures globales et qu’un refroidissement global est bien plus probale dans un futur proche, à moins que le soleil ne retourne à une activité près de la normale que notre civilisation expérimente depuis environ le début des années 1950 (voir le graphe de l’historique de l’activité solaire). Donc… Nous sommes maintenant les témoins d’une métamorphose du « consensus » qui intègre bien plus de réalités climatiques, ce qui veut dire qu’encore plus de scientifiques vont abandonner la théorie CO2-RCA parce qu’elle n’est plus scientifiquement défendable. Ceci dit, oui, les émissions de CO2 ont quelques effets sur les températures de par leurs propriétés physiques, mais ceci n’est pas un impact important et il fait pâle figure comparé avec l’impact qu’a l’activité solaire. Traduction par Résistance 71