Macron ose dire à une aide-soignante du CHU de Rouen qui a passé sa vie, ses nuits, ses we, au service des patients: "il faut bouger". Le macronisme n'est qu'une chose en fait: le mépris. Un sale mépris. Un détestable mépris.
— Mehdi Ouraoui (@mehdiouraoui) 5 avril 2018
Cette vieille méthode de com qui consiste à dire a des gens qui souffrent et qui sont à bout « rester poli et courtois » me débecte. On dirait Marie Antoinette et sa brioche. https://t.co/MHu2JCxDjy
— gaccio bruno (@GaccioB) 5 avril 2018
Moi je dis BRAVO au mec devant le CHU de #Rouen, dont la femme est infirmière, qui a été interviewé par @BFMTV et qui a dit : "En fait, Macron est un faible, il nous méprise parce que lui n'aurait pas le courage de travailler pour 1500€."
— Cécile C. (@C_Cecile_) 5 avril 2018
Une honte @agnesbuzyn de lever les yeux de cette façon en méprisant les explications concrètes des soignants et de les prendre pour des imbéciles avec @EmmanuelMacron. #mepris https://t.co/4HCt1IiYjq
— Sabrina AliBenali (@sabrinalinterne) 5 avril 2018
Tactique du mépris :
— φHeintol Kienφ (@manni477) 5 avril 2018
Phase 1 : dire que les budgets ont augmenté
Phase 2 : nier les difficultés rencontrés par les soignants
Phase 3 : le classique chantage à la dette
Phase 4 : se vexer parce qu’on ne lui a pas serré la main
Phase 5 : bouder https://t.co/1uovTfhq3M
- Le fameux « les yeux dans les yeux »,
— BRΞIZH is BΞAUTIFUL (@BreizhOfficiel) 5 avril 2018
- La ministre de la Santé qui lève les yeux au ciel quand on parle engorgement à l’hôpital,
- #Macron qui finit par tourner le dos à son interlocutrice toujours en train de parler...
Tout est désastreux dans cette séquence au CHU de Rouen.
Je préfère encore qu’elle ne prenne même pas la précaution de faire attention. Elle méprise, elle le montre. À ce niveau de franchise la maîtrise des infirmières qui ne lui claquent pas le beignet est à signaler. Si j’avais un chapeau je me découvrirais pour elles. https://t.co/0YGBdUxX0a
— gaccio bruno (@GaccioB) 5 avril 2018
Thomas Legrand sur Inter qui dit que le macroniste venant de la gauche doit se sentir comme un végétarien qui va pour la première fois dans la belle famille et à qui on sert une côte de boeuf, découvrant que le beau-père est boucher charcutier.
— peu importe (@MateuilB) 4 avril 2018
Ça a fait ma journée.
Thomas Legrand sur Inter qui dit que le macroniste venant de la gauche doit se sentir comme un végétarien qui va pour la première fois dans la belle famille et à qui on sert une côte de boeuf, découvrant que le beau-père est boucher charcutier.
— peu importe (@MateuilB) 4 avril 2018
Ça a fait ma journée.