L’éducation est probablement une des préoccupations les plus importantes des familles d’expatriés. Et quand on change de pays, difficile de connaître à l’avance la qualité de l’enseignement de telle ou telle école. A Genève, où bon nombre d’écoles privées internationales se côtoient, il n’est pas toujours simple de choisir. Aussi, quand on m’a proposé de rentrer en contact avec l’une de ces écoles privées à la renommée internationale, je me suis dit que c’était l’occasion de faire connaissance avec un milieu en général plutôt discret et que je connaissais finalement assez peu. J’y suis donc allé avec une pointe de curiosité… Et pour ne rien vous cacher, avec une petite dose d’a priori. Mais ce que j’ai découvert m’a vraiment étonné et m’a permis de me forger une opinion que je partage ici avec vous.
1. Un établissement qui prépare à différents diplômes internationaux
Pour ceux qui ne le sauraient pas, plus de 50% des personnes qui habitent le canton de Genève ne sont pas suisses. Cette dimension internationale, on la retrouve dans l’enseignement, qui propose des filières et cycles d’orientation pour 3 systèmes éducatifs différents :
- le système éducatif suisse, avec un enseignement permettant la préparation à la maturité suisse (maturité fédérale / maturité gymnasiale) ;
- le système éducatif français, avec un enseignement menant à l’obtention du baccalauréat français ;
- le système éducatif international, avec une filière bilingue menant à l’obtention du baccalauréat international (BI).
L’institut Florimont propose une filière entièrement bilingue (anglais-français). Peu étonnant me direz-vous quand on parle d’école internationale. Mais la filière bilingue est particulièrement prisée par les expats et la communauté internationale, et l’école sélectionne les futurs élèves sur la base d’un test de langue préalable.
2. Un statut d’association qui redistribue les bénéfices au profit des élèves
L’école a en fait le statut d’association, probablement hérité indirectement de ses fondateurs, des Missionnaires de Saint François de Sales. Ce statut d’association influence clairement la manière dont les décisions pédagogiques et stratégiques sont prises, l’intérêt de la collectivité pesant vraisemblablement beaucoup plus dans la balance. Par ailleurs, en raison de ce statut, l’école réinvestit l’intégralité des bénéfices qu’elle dégage. Et on comprend que ce sont avant tout les élèves qui en profitent : en traversant les couloirs de l’Institut Florimont, j’aperçois ici une salle de musique remplie d’instruments, là des élèves réalisant des projets de programmation dans le cadre de la robotique, ou encore ici des élèves pratiquant l’escrime…
3. Des taux de réussite impressionnants
Quand on fait le choix d’une école privée pour ses enfants, on est nécessairement exigeant sur le plan pédagogique et la qualité de l’enseignement, mais on attend aussi des résultats aux diplômes !
A l’institut Florimont, qui capitalise sur sa tradition d’excellence, les résultats se passent de commentaires :
- 86% de réussite à la maturité fédérale en 2015,
- 87% de réussite au baccalauréat international (BI) en 2017,
- 100% de réussite au baccalauréat en 2016, avec 96% de mentions.
4. L’institut propose des débouchés dans des écoles et universités parmi les plus prestigieuses
Dans la liste des 60 universités et écoles qui ont accueilli des élèves de l’institut Florimont, on retrouve notamment de (très) prestigieux noms, aux États-Unis, en Europe, au Canada, en Suisse, tels que : l’EPFL, l’EPFZ, Harvard, l’ESSEC, Oxford… La liste est longue et peut être consultée ici (lien vers la plaquette).
Certes, tous les élèves ne finiront pas dans ces écoles et universités d’élite, mais il est très clair que l’enseignement qui y est dispensé leur donne toutes les armes pour y arriver.
5. L’institut est fier de préparer ses élèves à un métier
Un ami connaissant parfaitement la Suisse et la France m’a dit une fois, en comparant l’enseignement des 2 pays : « En France, on te prépare à un diplôme. En Suisse, on te prépare à un métier ».
L’institut Florimont l’a bien compris, et grâce à un réseau riche en entrepreneurs et dirigeants d’entreprise, l’école met en contact élèves et entreprises par le biais de projets. Parmi eux, j’ai retenu un concours organisé par une célèbre marque de meuble et d’aménagement de maison qui a demandé à des élèves d’imaginer et de designer un canapé. Au final, les élèves ont inventé un concept de canapé « pizza », connecté et modulable, qui est aujourd’hui commercialisé ! Y a-t-il meilleure manière pour ces élèves de rentrer dans le monde du travail ?
6. Un suivi et un accompagnement individualisé
L’institut Florimont semble avoir beaucoup investi dans le suivi personnalisé des élèves : ce suivi se traduit notamment par du personnel qualifié de l’enseignement ; l’établissement est d’ailleurs classé depuis des années parmi les plus grands employeurs de Suisse romande. Véritable clé de voute de la pédagogie, ce suivi se traduit par des aides aux devoirs ou un accompagnement individualisé qui va jusqu’à la mise en place d’un enseignement aménagé pour des élèves dyslexiques par exemple. Les presque 1500 élèves de 60 nationalités différentes sont au centre des attentions, et cette approche y est probablement pour beaucoup dans les résultats observés et les universités intégrées par la suite.
7. Des techniques pédagogiques permettant d’intéresser les élèves à des matières jugées difficiles
Vous pensez que votre enfant n’aime pas les sciences, qu’il n’est pas bon en Math et que cela ne l’intéresse pas ? Attendez d’assister à un des ateliers proposés par l’institut Florimont, cela changera peut-être votre avis sur la question (et celle de votre enfant !). Dans le cadre de l’enseignement des Mathématiques, j’ai assisté à une présentation d’élèves sur des projets de robotique qu’ils ont menés en groupe : au menu, programmation, montage de robots, travaux de groupe… L’une de ces techniques pédagogiques innovantes, Maths.en.Jeans, a pris le parti d’enseigner les sciences sur des cas concrets, amusants et réels. Étant moi-même de formation scientifique, j’ai été séduit par ces techniques qui permettent aux élèves de comprendre par la pratique les sciences mathématiques… pour mieux en saisir ensuite la théorie !
8. Une école qui informe et stimule ses élèves sur les débouchés
En discutant avec les équipes, j’ai relevé ce point intéressant : l’institut, en collaboration avec d’autres écoles, organise chaque année un forum au sein de l’établissement rassemblant un nombre important d’écoles supérieures et d’universités pour présenter aux élèves les différents débouchés.
Conclusion : en tant que père de famille de jeunes enfants, et très soucieux de leur éducation, j’ai été particulièrement intéressé par cette incursion au sein de l’institut Florimont. L’ambiance dans les locaux, le comportement des élèves, le discours de l’équipe pédagogique m’ont vraiment séduits, et donné envie de leur confier mes enfants. Cerise sur le gâteau, l’enseignement des sciences m’est apparu sous un jour que je ne connaissais pas et qui ne peut qu’intéresser les élèves.
Certes, cet enseignement d’excellence a un prix, mais pour une famille qui s’installe à Genève et qui hésite entre l’enseignement public et privé ou entre plusieurs établissements privés, l’Institut Florimont a des arguments concrets et de poids à mettre dans la balance.
Article rédigé en collaboration avec l’Institut Florimont
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