L'élue a rappelé devant les députés que la profession doit faire face à « une véritable catastrophe écologique » et qu'elle « n'attend plus de l'indignation mais de l'action ».
Dans son plaidoyer, Sandrine Le Feur a assuré au ministre que, selon elle, « sa réponse n’est pas à la hauteur de la gravité de la situation ».
Il faut rappeler que les apiculteurs bretons se sentent désemparés. Début mai, ils ont organisé un convoi mortuaire à travers la Bretagne pour alerter sur la mortalité de leurs abeilles. Plus de 20 000 colonies ont été décimées au cours de l' hiver. Et pour eux, il ne fait aucun doute que les pesticides sont la cause de ce phénomène d'une ampleur inédite.
.@SandrineLeFeur (LaREM) demande au Gvt quels dispositifs d'indemnisation sont prévus pour soutenir les apiculteurs qui "font face à une véritable catastrophe écologique", et souligne que ces derniers "n'attendent plus de l'indignation mais de l'action". #QAG #DirectAN pic.twitter.com/DgCsbkzQaK
— Assemblée nationale (@AssembleeNat) 16 mai 2018