Non contente d’escroquer les contribuables dans le cadre de l’affaire d’emplois fictifs au parlement européen de son parti extrêmement droitier, voilà que Mylène Troszczynski, élue européenne du FN, récidive.
Elle a en effet de nouveau saisi la justice afin de demander purement et simplement l’annulation du remboursement de plus de 56 000 euros, exigé en raison de l’emploi fictif d’un supposé assistant parlementaire en 2014-2015. Or, la justice européenne a tranché sur le fond, après l’avoir déjà fait sur la forme, en estimant que (je cite) « Aucun élément du dossier ne permet d’établir que l’assistant local aurait assuré des tâches effectives pour Mme Troszczynski », a estimé le tribunal. En outre, comme la voleuse impénitente a tenté de jouer là dessus, elle n’a apporté « aucun élément de preuve permettant de considérer que seuls les eurodéputés du FN auraient fait, par le passé ou à l’heure actuelle, l’objet de procédures similaires engagées par le Parlement ».
Plusieurs eurodéputés FN sont visés par des soupçons de fraude au Parlement européen – dont la cheffe du parti Marine Le Pen – , mais aussi des élus d’un autre parti français, le MoDem, formation centriste de l’ex-ministre François Bayrou. (source)
Belote, rebelotte, et dix de der. Tu as joué, tu as perdu, petite Mylène… J’ai donc gagné le droit de t’appeler voleuse. Puisque tel est le cas et qu’il convient de nommer justement les choses. Ce que tu as fait s’appelle précisément une escroquerie. Voilà voilà… C’est ballot, hein, pour un parti qui prétend laver plus blanc que blanc, et se montrer « mains propres, tête haute ». Si j’étais toi, moi, je raserais les murs. Déjà que le racisme et la xénophobie, c’était pas top…