Un appel de 250 personnes a demandé le retrait d l’article 2 du projet de loi contre les violences sexuelles voté malgré ce par les élus de Macron à l’assemblée en première lecture. Ce texte augmente le risque de déqualification de viols en atteinte sexuelles ; ne reconnaissant pas le viol comme un crime cet article fait toujours porter sur la victime la preuve du crime qu’elle a subi.
Telle est la raison pour laquelle les députés communistes ont voté contre ce recul institutionnel.
Section de Sète du PCF