Magazine Médias

Solo: A Star Wars Story (Ciné)

Publié le 11 juin 2018 par Bigreblog

Bonjour les gens!

Bigre ne déroge pas à la règle ajd, puisque oui, elle est bien allée voir le dernier-né de la franchise Star Wars, et non, elle n’a pas honte, puisqu’elle a décidé d’ignorer les critiques complètement débiles qu’elle a pu lire.

Sérieusement, les gens: ce film est génial. Tout autant voire plus que The Last Jedi avec lequel il partage la même envie d’enfreindre les règles. Mais tout ça, c’est logique: y a Ron Howard derrière la caméra.

😉

Allez, on parle de Solo, et je ne spoilerai rien!

Sur Corellia, il n’y que deux manières de survivre: travailler pour Lady Proxima, ou s’engager dans l’armée impériale. Le jeune Han Solo, qui rêve de s’évader dans les étoiles, décide, pour le meilleur comme pour le pire, de choisir la deuxième option. Trois ans plus tard, il fait une rencontre qui va tout changer…

Solo: A Star Wars Story (Ciné)

Après le fiasco total de Rogue One, je n’attendais sérieusement pas grand-chose de ce spin-off sur la jeunesse de Han Solo, dont la mort presqu’annoncée dans l’épisode VII avait apparemment demandé qu’on se garde le personnage sous le coude.

C’est lorsque le réalisateur et le casting a été annoncé que là je me suis dit qu’il y avait matière à faire du bon.

Il faut dire que j’adore Ron Howard, entre Rush et autres Da Vinci Code. Et que cet homme a tendance à casser les codes, et à ne jamais aller là où on l’attend.

Et il n’a pas dérogé à sa propre règle, puisque Solo démarre sur une séquence d’ouverture qui va en dérouter plus d’un parmi les fans. Et là encore, il y aura ceux qui hurleront au blasphème, et ceux qui, comme moi, crieront au génie.

D’autres traits de génie sont les Easter eggs qui se trouvent partout dans le film. Des références à Harrison Ford, à ses autres rôles (dont une référence juste parfaite à Indiana Jones: qui la trouvera?), et à l’Univers Étendu en règle générale.

Là où le bât blesse un peu plus, c’est pour les personnages secondaires, surtout les méchants, qui sont trop peu exploités et dont les motivations ne sont que trop peu expliquées. Ce qui rend un homme aussi charismatique de Dryden Vos un peu….inutile? C’est très dommage, surtout que les personnages principaux, eux, ont droit à une écriture vachement plus élaborée.

Parce qu’il faut remettre ça à Solo: Han est plus que jamais un personnage intéressant parmi les autres Jedi, Sith et impériaux. Un homme dont les motivations sont différentes de celles des autres, et qui, malgré l’absence totale de pouvoirs liés à la Force dans son sang, est quand même le pilote le plus BADASS de la galaxie.

Et Chewbacca; Lando; Beckett (dont on va reparler) et L3 ne sont pas en reste.

Finalement, il n’y a que quelques défauts dans ce film, et s’ils cassent parfois la dynamique de l’intrigue, ils ne sont pas aussi dérangeants que ces 2 heures de rien que Rogue One nous avait balancé à la tronche.

(Je suis toujours vénère deux ans après.)

Parlons donc casting.

J’ai rencontré Alden Ehrenreich au détour d’une bouse, Beautiful Creatures, avant de le retrouver dans Hail, Caesar dans lequel il était probablement la meilleure chose. Mais il excelle vraiment dans les chaussures de Han qui semblent avoir été fabriquées pour lui. Tout, de sa posture à sa diction en passant par ce regard coquin si particulier à Harrison, est parfait pour le rôle. Je n’ai détesté aucune de ses scènes.

Joonas Suotamo, qui a repris le rôle de Chewbacca suite aux ennuis de santé de Peter Mayhew, a bien étudié sa grande peluche qu’il a réussi à rendre superbement attachante malgré la barrière de la langue (et en vrai il parle wookiee et c’est trop chou).

Woody Harrelson, que j’adore de plus en plus (for reasons) incarne lui Tobias Beckett, un contrebandier sur la route de qui tombe Han. Son personnage a été en grande partie basé sur Long John Silver. Et il est badass. Son épouse Val est elle incarnée par la toujours parfaite Thandie Newton.

Emilia Clarke, notre Khaleesi d’amour, hérite quant à elle du rôle de Qi’ra, dont je ne dirai rien, et malheureusement elle fait partie de ceux qui ont été sacrifiés sur l’autel du manque d’exposition. Une fille qui passe finalement pour une potiche qu’elle ne devrait pas être…

Solo: A Star Wars Story (Ciné)

Donald Glover, aka Childish Gambino, a repris le rôle de Lando Calrissian, et misère, ce type a un charme de ouf! J’aimais déjà beaucoup Billy Dee-Williams de par son « œil qui frise » comme je dis souvent, mais là, wow… Il va avoir des groupies à la pelle après ça, et je suis volontaire pour me joindre à elles.eux! XD

Solo: A Star Wars Story (Ciné)

Give that man a fuckin’ spin-off…or a franchise…or the world.

❤

Phoebe Waller-Bridge, elle, interprète L3-37, le droïde et lieutenant de Lando, un droïde qui est en fait quasiment humain dans sa manière d’être et fuck’s sake ce personnage est génial. Je devrais sans doute reparler plus tard de son évolution car il y a de quoi parler…

Et enfin, le seul et l’unique, quoique trop peu exposé donc, Paul Bettany, incarne Dryden Vos, un mercenaire à la solde de la mystérieuse Crimson Dawn. Un type charismatique et sexy as hell, mais bon, je suis subjective vu que Paul peut me réciter le bottin quand il veut… XD

Solo: A Star Wars Story (Ciné)

Ooooh you sexy beast….

❤

Me reste à parler de ces cameos très nombreux et tous savoureux, notamment ceux de Warwick Davis (Wicket powa); Anthony Daniels (pour une fois dans la peau d’un humain); Kiran Shah aka mon héros ès LOTR; et Jon Favreau.

Mais le meilleur cameo est celui qui intervient à la fin, et si je ne l’ai pas vu venir, j’en connais un qui va hurler de plaisir: mon frère. XD

Allez, en gros, d’accord, Solo n’a pas que des qualités, mais c’est un très bon film de la franchise, et si Mark Hamill l’a aimé, y a pas de raison que vous ne l’aimiez pas non plus!

😛

Note: 7,5/10 (scénario: 7/10 (quelques défauts donc)jeu: 8/10BO: 7/10 (un peu redondante)SW-spirit: 8/10)

Solo: A Star Wars Story (Ciné)


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Bigreblog 1726 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte