Le jugement que l'on porte sur une question change en fonction de la façon dont on la présente.
Que faut-il faire pour parvenir au pouvoir ? Auriez-vous une chance de réussir ? D'ailleurs, cela vous semble-t-il digne de votre vie de s'engager sur ce chemin ? Si le candidat au pouvoir n'est pas un homme comme vous, à quoi peut-il ressembler ? Ses aspirations et le parcours qu'il doit suivre sont-ils compatibles avec compétence et souci de l'intérêt général ?...
Ainsi formulée la question du pouvoir, il est possible que l'on trouve quelque vertu à la résistance au changement.