Peine et misère,
Ceux qui ne vous nomment ne vous connaissent,
Leur richesse fait le nid de leur paresse,
Plus grande encore pourrait être leur allégresse,
Les jours faciles ne seraient être inutiles à l’oeuvre éternelle de l’amour,
Tous au travail de sa divine ambition,
Peine et misère quitteront ce temps alors devenu fort plaisant,
Mais dès ce présent,
Que ceux qui ne les nomment n’ajoutent regrets en leurs coeurs désespérément pauvres,
Sans bonheur car sans pures pensées pour tout autre.