"Seul celui qui a beaucoup questionné peut comprendre beaucoup de choses. Et n'est juste que celui qui comprend beaucoup de choses." (Stefan Zweig, Le chandelier enterré.)
Il y a peut-être quelque-chose de juste là dedans ! Toute question a de multiples facettes. Si on n'en connaît pas au moins un grand nombre, on juge à vide. Mais pour les connaître, il faut s'extraire de ses certitudes. (Plus facile à dire qu'à faire.)
En tout cas, ce n'est pas une phrase dans l'ère du temps. A l'époque des "combats pour", nous sommes supposés savoir spontanément ce qui est bien est mal. Temps de justice ou d'arbitraire ?