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Progrès et croissance

Publié le 07 juillet 2018 par Christophefaurie
Je n'ai pas de montre. Pourtant, lorsque j'étais enfant, j'étais fasciné par les montres. Ce qui a tué mon intérêt est la montre à quartz.
Je ne suis pas le seul dans mon cas. La montre, redevenue mécanique, est la marque du parvenu.
Idem pour la voiture : la technologie nuit à la séduction qu'elle exerce.
C'est étrange mais le progrès semble s'auto détruire. Plus exactement, l'homme n'est pas amoureux du progrès pour le progrès. Le progrès a peut-être été associé un temps à une aura romantique qu'il a perdue.
Et si c'était cette aura qui avait fait la croissance économique ?

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