Les tarifs règlementés du gaz, déjà à la hausse de 0,4% en mai 2,1% en juin, augmentent de 7,45% à partir du 1er juillet 2018. C’est la plus forte hausse depuis six ans décidée par le gouvernement.
Le budget des ménages sera plombé de 90 euros en moyenne, à un moment ou les précaires énergétiques n’ont jamais été aussi nombreux (13 millions).
De plus les investissements d’isolation thermique pour les volets, le fenêtres et les portes sont exclus depuis le 1er juillet du crédit d’impôt.
Macron soigne les actionnaires et saccage le pouvoir d’achat des familles et de la transition énergétique.
Section de Sète du PCF